Réalisateur pour des affaires qui passent à la TV, Écriveur d’affaires qui passent dans une revue, Danseur émérite, Sex-symbol notoire, François Lachapelle est tout ce que tu voudrais être, Fois 4.

Pis j’ai un bogue:
http://funkmasterfrank.blogspot.com/

——————————————————————————————-

Ça y est, je suis excité. Quand je suis excité, je suis incapable de me retenir (insérer votre blague salace ici), donc ça se peut que je perde le contrôle et que dans 6 pages, vous soyez encore en train de me lire. Encore une fois, pas d’ordre précis, pas de top, pas de gagnant, juste des affaires que dans 10 ans, je vais relire en faisant « aaaahhh ouin. ». So here comes the shiz’nit.

« Allez les bleus »
(ou meilleur disque français au sens linguistique du terme)

Les Vulgaires Machins / Compter les corps (Indica)
Ben oui, ben oui, je vous entends. Je le sais que c’est sorti au milieu 2006, mais il semblerait qu’en 2006, j’ai fait une belle grande sieste sur l’interrupteur face à cet album-là et je voulais aujourd’hui me repentir. Un jour de janvier 2007, je jase avec Joakim dans les loges du Café Campus. Il me demande si j’ai écouté l’album des Vulgaires, je dis pas encore, il en sort un de ses poches et me dit d’aller l’écouter. Je l’ai fait, et je ne me souviens pas d’avoir écouté autre chose en janvier-février 2007. Merci Joakim, merci les Vulgaires Machins, merci Gus Van Go, merci l’inventeur de la guitare électrique, merci aux animaux qui donnent leur peau pour en faire des tambours, tout ça mis ensemble a donné un putain de classique.
La toune qui tue : C’est con que je me pose cette question parce que ce disque-là est la définition du meurtre. J’mettrais Légaliser l’héroïne pour le break à 2 min 30.

—————————————

Rudy Caya / Le Taureau (Indica)
Rudy ne peut pas manquer son coup, il ne peut juste pas. Même s’il faisait du rodéo sur un taureau. (Ok, je suis en feu sur les jeux de mots, appelez le Voir et dites-leur que je peux écrire tous leurs titres.) C’est pas toujours excellent, ses expériences reggae ne sont pas convaincantes, mais quand il rocke, ça marche. Caya est encore pertinent, même vingt ans après, c’est pas comme « Lance et compte ».
La toune qui tue : l’acoustique de Guantanamo Bay pour le texte pis le feeling pis le son de bouteilles de bière qui se cognent.

—————————————

Tricot Machine / Tricot Machine (Grosse Boîte)
Je pourrais me mentir et ne pas le mettre. Le hype est passé, c’était cool sur Myspace (vous vous rappelez Myspace?), maintenant c’est cool de faire croire qu’on a jamais aimé ça. Je ne peux juste pas. Je me rappelle d’être sorti du show de lancement au Cabaret et d’avoir eu une profonde discussion sur qu’est-ce que ça peut ben vouloir dire : « T’as les joues rouges boréales ». Cet album est arrivé à un point dans ma vie où j’avais besoin d’un « feel good cd » et le jour où on va réaliser un film sur ma vie, l’acteur qui va me jouer devra écouter une coup’ de tounes pour comprendre quel était mon feeling au printemps 2007.
La toune qui tue : Les peaux de lièvres, la première que j’ai entendue (sur Québec Émergent 2006) et encore une de mes préférées.

—————————————

Mick est tout seul / Les Chansons perdues (EMI France)
C’est pas son nom de famille « est tout seul », c’est Mickey de Mickey 3D. Je suis toujours un peu méfiant des projets solos des chanteurs de groupe que j’aime. Au début, j’aimais pas ça, du tout. Ça sonne un peu cheapette, c’est vraiment lui tout seul et on dirait que ça manque d’enrobage. Après t’écoutes les textes et c’est ok, tu es content, puis tu réécoutes et tout est beau, le manque d’enrobage devient du « dépouillé » et le tout seul devient du « très personnel ».
La toune qui tue : J’te Jure, elle a de l’harmonica, tsé.

—————————————

Plume Latraverse / Hors-Saisons (Disques Dragon)
Si vous êtes comme moi, vous vous faites un grand portrait du monde de la musique, qui est comme un désert avec un grand trou au milieu (non?). D’un côté du trou, il y a ceux qui veulent, et de l’autre, il y a ceux qui peuvent. Pendant que Les Respectables et la Chicane jasent du côté de ceux qui veulent, Plume a son confortable siège réservé du bord de ceux qui peuvent. C‘est vraiment pas son meilleur, mais c’est simple, intelligent, efficace.
La toune qui tue : Trop, pas trop de tounes, mais bien la toune Trop.

—————————————

Bikini Machine / Daily Cookin’ Music With (Platinum Records)
Je ne sais pas trop où classer Bikini Machine. Ils font un genre de rock-surf-funk-60’s, sont d’origine française, chantent en anglais et en français, font des chansons instrumentales, etc. Je les ai mis dans le francophone à cause de leur passeport, quoique maintenant avec l’Union Européenne, y’a pu d’infini. Anyway, leurs albums ne sont pas distribués au Canada et je crois que c’est de l’injustice pure, comme ce fameux combat entre Hulk Hogan et le géant Ferré, Hulk avait l’épaule levée, de l’injustice pure j’te dis.
La toune qui tue : Voodoo est vraiment groovy, le genre de toune que Quentin Tarantino mettrait dans une de ses vues sur une scène particulièrement violente.

—————————————

Martin Léon / Le facteur vent (La Tribu)
Je ne sais pas combien ça prend de temps faire un disque, mais Martin Léon a pris 5 ans pour faire celui-ci. Je ne sais pas si c’est long, mais ça donne quelque chose de vraiment bon. J’aime Martin Léon pour ses ambiances, ses textes, ses pochettes, ses remerciements (il remercie pour des raisons diverses Hubert Reeves, Roméo Dallaire et Mohamed Ali, comment vous voulez que ça ne soit pas bon). Si ça prend 5 ans faire des bons disques, ben que tout le monde en prennent note… Sortez moins de disques, mais juste des bons.
La toune qui tue : L’enfer est sold-out est pour moi une suite logique du premier disque qui était fort bon, t’aime un, t’aime l’autre.

—————————————-

Hudon–Placard / Hudon-Placard (Fruit)
J’aime Placard. J’aime Hudon. J’aime ce qu’ils font ensemble. J’aime que ce soit un peu tout croche. J’aime qu’ils ne le vendaient que chez les disquaires indépendants. J’aime les skits. J’aime le country. Merci.
La toune qui tue : de Hudon : Repentigny, de Placard : Seul avec mon cheval, ensemble : Dis-moi donc.

——————————————————————————————-

Plus meilleurs records dedans l’anglais

Oh No / Dr. No’s Oxperiment (Stones Throw)
Madlib / Beat Konducta Vol. 3-4 in India (Stones Throw)
Vous voulez me faire un sacré beau cadeau de Noël? Faites-moi inviter à souper chez la famille Jackson. Je suis certain que Madlib et Oh No font des beats battle en soupant, pour se départager l’amour de leur mère. J’adore ces albums de beats pour ceux qui on un déficit d’attention. Oh No fait 28 beats en 40 minutes, inspiré par le funk psychédélique turc, libanais, grec et italien (oui, oui) et Madlib en fait 34 en moins d’une heure, tous d’Inde inspiré (ça c’est une belle phrase). Des deux, je préfère Oh No, mais ils sont tous deux dignes de mention.
Les tounes qui tusent : Oh No : j’ai acheté l’album après 7 secondes de la première toune alors je garde Heavy. Madlib : Sitar Ride me donne le goût de n’écouter que du rap indien (pas indie, indien).

—————————————

Me Mom And Morgentaler / Shiva Space Mission Gone Fission (Extended Edition) (Disques Musi-Art)
Originalement paru en 1993, ce disque est selon moi un des plus importants de l’histoire de la musique montréalaise (Arcade qui?). Chanté dans les trois langues officielles (français-anglais-espagnol), leur mélange de ska-folk-rock a mis le feu partout au début des années 1990 et cet album (le seul vrai) était introuvable depuis plus de 10 ans. Comme à l’époque, j’achetais des cassettes, je suis content de l’avoir en CD (pour le mettre sur mon iPod, mais c’est mieux que rien.) À l’époque où on avait un club des Top 5, j’avais déclaré ce disque « Top 1 île déserte ». Des questions?
L’album tue.

—————————————

Jamie T. / Panic Prevention (Virgin)
Y’a des records comme ça que t’attends pas pis que te saute dans la face. Pas au sens propre, mais au sens figuré. Le disque ne m’a pas sauté dans la face, ça serait ridicule, voir impossible. Sauf bien sûr les disques magiques, mais bon, je me suis dis que je ne mettais pas de disque magique dans mon top cette année. Donc Jamie T., britannique, 21 ans, rêvait probablement d’être les Clash (oui, il voulait être les Clash), décide de faire tout tout seul. Ça donne quelque chose entre The Clash et The Streets (The Strash?). Les premières paroles de l’album : « Fucking Croissant », j’étais vendu.
La toune qui tue : Dur à dire, c’est vraiment un bon disque au complet. Sheila c’est le single pop, mais j’aime plus Operation, ou Pacemaker.

—————————————-

Kanye West / Graduation (Roc-a-Fella)
Les débuts d’album influencent beaucoup l’opinion que je vais avoir du disque. Les premières notes de Graduation (Good Morning Intro), c’est un cornet vanille trempé dans la chocolat… dé-li-cieux. J’ai jamais été fan de Kanye. Un peu du premier disque, pas trop du deuxième, quelques bons features, mais là, trop fort. Oui, yé arrongant, mais ça ne me dérange pas, il a du talent, si t’avais du talent, tu pourrais être arrogant.
La toune qui tue : J’aime beaucoup Drunk and Hot Girls (Mos Def tsé…) mais je ne peux pas écouter Good Life sans lever les bras au ciel et ça c’est un signe, et Can’t tell me nothing, et Barry Bonds, et Big Brother. tout est là.

—————————————

The Dirty Tricks / Sauve qui peut! (Blue Skies Turn Black)
Ils rockent les Dirty Tricks. Ils rockent fort et bien. Essayes d’écouter BLVD sans lever le poing dans les airs et brasser la tête… si tu réussis, c’est que tu es une statue et si t’es une statue, tu ne peux pas lire, arrêtes de te mentir et lève le poing. Je ne sais pas pourquoi le titre de l’album est en Français, je ne sais pas pourquoi il y a des titres de tounes en français, et honnêtement, si on peut être franc entre-nous une petite seconde, m’en sacre. Les Dirty Tricks ont sauvé le rock dans ma vie en 2007 et je leur en serai éternellement reconnaissant.
La toune qui tue : Relie le texte, je dis BLVD et je redis BLVD.

—————————————-

Against Me! / New Wave (Sire)
Je pense de plus en plus qu’Against Me! pourrait enregistrer un disque de bruits de la nature et j’aimerais ça. J’étais vraiment pas sûr de cet album, sur Sire Records, réalisé par Butch Vig. Je trouve qu’il manque dramatiquement de country et de chansons acoustiques, mais reste qu’ils savent comment faire du bruit que j’aime, et à part Stop (trop FranzFerdinesque), j’aime beaucoup ce disque. Oui, c’est plus clean, oui, ils sont sur un major, mais ça reste meilleur que 93% des albums sortis en 2007.
La toune qui tue : J’ai eu une longue obsession pour « Borne On The FM Wave Of Heart» (feat. Tegan Quin), facile et accessible, votre mère va adorer.

—————————————

Jay Reatard / Blood Visions (In The Red Records)
Non, je n’ai pas vu le show à Pop Montréal. Oui, merci, je me doute que c’était fameux. Jay Reatard en est un autre qui a sauvé le rock dans ma vie en 2007. Il fait tout, tout seul, trop fort. Le genre d’album que t’écoute en jouant avec les EQ parce que ça distortionne tout le temps. 15 tounes, même pas 30 minutes, quelque part entre les Misfits et les Stooges, mélodique et sale parfait pour les soupers entre amis et les moments tendres.
La toune qui tue : Not A Substitute, 1 min 05 sec. de rock.

—————————————-

Brakesbrakesbrakes / The Beatific Visions (Rough Trade)
En Angleterre, ils sont Brakes, en Amérique, c’est Brakesbrakesbrakes pour une raison de copyright j’imagine. Il se promène entre le country, le grunge, le punk, peuvent te faire danser ou verser une larme. La voix du chanteur me fait penser à celle de Michael Stipe (R.E.M.), mais c’est pas grave, c’est bon quand même. Pour une raison fort obscure, leur show au Lambi en juin dernier a été annulé, dommage parce que live, ils doivent te rappeler que t’es vivant.
La toune qui tue : If I Should Die Tonight, une pure ballade country.

—————————————

Hot Springs / Volcano (Aquarius)
Je ne comprends pas pourquoi les Hot Springs ne jouent pas au show de la mi-temps du Superbowl. En fait, je ne comprends pas pourquoi ils ne sont pas présentement à la conquête du monde. Bon rock, bon son, chanteuse sur qui on peut facilement fantasmer, ils ont tout pour réussir. Allez conquérir le monde, vous avez ma bénédiction.
La toune qui tue : Pink Monkey est tout ce qu’elle devrait être.

—————————————-

Matt & Kim / Matt & Kim (Iheartcomix)
Je sais que c’est sorti en octobre 2006, mais vous savez sûrement que dû au calendrier solaire décalé, octobre 2006 se trouve maintenant en 2007 (sans jokes, j’ai des preuves). J’aime la simplicité punk-dance du duo batterie (Kim) et clavier (Matt je crois). Les chansons sont vraiment accrocheuses, les shows délirants (selon ce que j’ai vu sur le site de U2), il se décrivent d’ailleurs comme un « onstage pizza party ». Il faut voir le clip de Yea Yeah qui est un bel exemple de n’importe quoi contrôlé.
La toune qui tue : It’s A Fact (Printed Stained), juste de la façon dont Kim joue de la cymbale, tu sais qu’il va se passer quelque chose de plus grand que nature.

—————————————

EL-P / I’ll Sleep When You’re Dead (Definitive Jux)
Quelque part au début des années 2000, j’étais certain que Def Jux était le meilleur label au monde et que rien n’allait changer ça. Pis on dirait que tout a changé, mais cette année, EL-P est revenu, et dans le domaine hip-hop-science-fiction-épeurant, il est au top de sa game. Beats tordus, features de classe (Aesop Rock, Cage, Mars Volta, etc) c’est la trame sonore idéale pour un film de zombie-gangster.
La toune qui tue : EMG, elle est moins épeurante et a un bon feel old-school.

—————————————

Bloc Party / A Week-end In The City (Vice Records)
Non, yé pas aussi bon que le premier. Ok, good, parfait. Ceci dit, si tous les groupes faisaient des disques meilleurs que le précédent, Aerosmith serait rendu dans une putain de quintessence musicale (vous voyez ce que je veux dire?). Moins dans ta face que Silent Alarm, mais c’est correct, plus nuancé, ils essaient autre chose et se crinquent pour nous mettre un uppercut en pleine gueule avec le prochaine disque. C’est mon opinion et je me respecte.
La toune qui tue : Waiting for the 7 :18, c’est un opéra rock en une seule toune.

—————————————-

The Nightwatchman / One Man Revolution (Epic)
Si vous cherchez la fin du monde, elle a eu lieu dans les poumons de Tom Morello. Écoutez sa voix, impossible que ce soit vraiment à lui. Je dois dire que j’aime beaucoup Morello à la base. Ici, il ramasse une série de « protest songs » acoustique qu’il chante avec une voix de sous-sol (entre Johnny Cash et Gargantua). Je sais que l’album n’est pas génial, mais il mérite sa place vu l’énorme « Wooooooo » qu’il m’a soutiré.
La toune qui tue : Maximum Firepower, la rage sur une guitare sèche.

——————————————————————————————

Chansons variées appréciables pour différentes raisons.

SouljaBoy / Crank That : J’aimerais ça que ce soit une joke, mais non.
Bedouin SoundClash / 12 :59 Lullaby : Parce que des fois j’ai des sentiments.
Saul Williams / Scared Money : Je ne peux pas résister au reggae.
Ghislain Poirier + Omnikrom / Jusqu’en haut : Chaud.
Modest Mouse / Dashboard : pour taper du pied sur le beat.
The Pipettes / Your kisses are wasted on me : Une bombe féminine.
Jacquemort / Biscuit Chinois : Rock.
Yeah Yeah Yeahs / Kiss Kiss : Pour Karen.
Skye Sweetnam + Tim Armstrong / (Let’s get movin’) Into action : Je ne comprends pas le duo, mais j’aime la toune.
Omnikrom / Été Hit : ça aurait du être le hit de l’été.
IAM / Hip Hop Ville : Drôle.
Northern State / Cold War : Dansant.
Busdriver / Casting Agent and Cowgirls : Groovy.
Hezekhia / I Predict A Riot : j’aime le rap de sac à dos.
Radio Radio / Check la brume sous les street lights : Exotique.
Caroline Keating / Ghosts : Beau.

——————————————————————————————-

Shows’n’shit

Against Me! @ Higher Ground (Burlington) + Against Me! @ Studio Juste Pour Rire
Parce qu’une fois c’est pas assez pour comprendre tout ce qui se passe. Voir un show à Burlington aussi c’est autre chose. La salle est dans un espèce de centre commercial, si tu veux boire de la bière, il faut que tu reste dans un enclos, etc. Vraiment une belle expérience sociologique. Et pour mes archives personnelles, j’ai aidé un gars en béquilles à faire du « bodysurf ».<

Tricot Machine @ Cabaret Juste Pour Rire
Pendant un bref instant, j’ai perdu toute forme de cynisme et j’ai su ce que c’était d’être heureux. Puis tout est revenu à la normale.

The Coup @ Club Soda
Ils étaient supposés venir aux Foufs en début d’année mais un bête accident d’autobus les en a empêché (en plus de brûler tout leur matériel, mais bon). C’est Boots Riley sans Pam The Funkstress qui s’est pointé, avec un band live pour le soutenir. Présence scénique excellente, choriste possédée, batteur complètement déficient qui rocke le shit tout en gardant une attitude tellement fraîche qu’il rendrait Popsicle Pete jaloux. Je me demandais comment il rendrait les beats hip-funk-soul des albums avec un band, et la réponse est simple; bien, très bien.

Mick est tout seul @ Cabaret JPR
Il était vraiment tout seul, en première partie de Barbara Carlotti. Lui, sa guitare et un échantillonneur. Il ne vient que rarement à Montréal parce qu’il a peur de l’avion, mais il était là. Il a joué ses chansons et quelques-unes des Mickey, fait des jokes, jasé avec les gens, et il est parti, moi aussi. Désolé Barbara.

Me Mom and Morgentaler @ Club Soda
C’était mieux que Noël. Ils disent que c’étaient leurs derniers shows. Final bâton. Y’a une rumeur qui dit qu’ils en feraient un dernier, extérieur, cet été. Je vous le souhaite.

Fini. Merci d’avoir lu. Si vous avez lu. Si vous n’avez pas lu, merci de faire semblant la prochaine fois qu’on va se voir, sinon, ça me briserait le cœur.